Une nouvelle fois, profitant de la douceur inespérée de ce mois d'octobre,
je suis allée dans les bois.
Difficile de résister à l'envie de faire des images,
même si elles peuvent ensuite paraitre aussi banales que celles des calendriers de la poste (je ne sais même pas s'ils existent toujours ? Chez moi en tout cas le facteur n'en donne pas, et je viendrais presque à le regretter, comme beaucoup de choses désuettes et un peu ridicules qui évoquent les souvenirs d'un monde perdu)...
A chaque fois, c'est une plongée dans l'imaginaire et les sensations d 'enfance.
A chaque fois, comme une innocence retrouvée,
une chasse aux trésors (cette fois des châtaignes),
une jubilation, une vibration d'énergies qui redonnent des forces...