vivement la nuit
Si ce blog présente quelques uns de mes travaux d'artiste, il est surtout destiné à rassembler pèle-mèle des images
du quotidien, des références aux artistes qui m'inspirent, des rencontres...
Un peu comme un grand tiroir vituel où je rangerais des bribes du monde, pour avoir le plaisir, de temps en temps,
de m'y replonger et de m'étonner de retrouver des images oubliées, des sensations...
On oublie parfois si vite !
Pour les faire partager, aussi, aux quelques visiteurs qui peuvent parfois s'y égarer...
Les pinceaux "100% poil d'artistes" d'Audrey.
Une autre vue de la deuxième salle.
Audrey devant sa pièce "Plus ou moins l'infini"
Quelques dessins d'Audrey
Mon "Village"
Quelques oeuvres d'Handska et "1m x 1m"
Ma "Famille", ossatures de vêtements et tissus cousu au sol
Hier, malgré la neige, soirée de vernissage chaleureuse et réussie, comme cette expo dont nous sommes toutes les trois très fières
(ça ne m'arrive pas si souvent d'être très contente du travail accompli !)
Malgré mon trac avant l'installation, tout s'est passé comme sur des roulettes et je dois remercier toute l'équipe du service culturel d'Auvers et biensur mes amies Audrey et Handska, avec qui l'alchimie est si créative !
C'était vraiment un grand plaisir de voir ce projet enfin déployé dans la galerie d'Auvers.
A voir jusqu'au 3 mars (uniquement les week-ends de 14h à 18h).
L'accrochage est presque terminé.
Encore quelques détails aujourd'hui
et il ne restera plus qu'à attendre samedi soir.
C'est étonnant de voir comme les pièces se transforment
selon la lumière, la proximité avec les autres travaux...
Je pense que ce sera une belle expo !
L'exposition "Secondes peaux", que les plasticiennes de La Corne du Zèbre,
Audrey Bastard, Handska et moi-même,
avions en projet depuis plus de deux ans
va enfin voir le jour à la galerie d'art contemporain d'Auvers-sur-Oise.
Vernissage le 19 janvier à 18 h.
Voir le lien :
Installation la semaine prochaine,
avec plein d'émotions en perspective !
Vincent lamouroux a investi les salles de l'Abbaye de Maubuisson avec des installations.
Enorme coquille d'escargot en carton et plâtre illustrant la "néguentropie" (titre de l'expo) :
la capacité qu'il a de construit sa coquille en adéquation avec sa capacité à la transporter, assurant ainsi sa survie et son adaptation au milieu.
Et dans les autres salles, envahissement de dunes de sable, particuièrement réussi
dans la salle des religieuses, en modifiant l'acoustique en particulier.
Evocation du temps qui passe, de la destruction (par l'intérieur) inexorable
du bâtiment et de toute chose.
Les visiteurs, qui peuvent grimper sur les dunes, se les approprient avec curiosité, comme par jeu, mais assez étrangement dans le silence. Pendant ma visite, tout le monde prenait
des photos, se prenait en photo comme on le fait sur la plage,
pendant les vacances.
C'est sans doute un signe de la réussite de cette installation.
Par contre, j'ai trouvé la troisième salle redondante, puisqu'elle présente le même dispositif, sans qu'il ait le même impact que dans la grande salle.
Dans la forêt, en voyant ce joli scarabée bleu éléctrique,
je n'ai ps pu m'empêcher de penser à mon amie Handska !
Nouveau dessin, en 5 parties,
reliées entre elles par de petites accroches en plastique,
pour une présentation libre, sans cadre.
"Equilibriste", comme ceux qui traversent la vie en essayant sans cesse
de ne pas tomber, au sens propre comme au figuré,
avec le poids de leurs entrâves,
et malgré tout les couleurs de leurs rêves.
